Visite des 19/20 octobre. Outils présents : balai, tisonnier, scie dont il faut refaire la voie si on veut qu'elle soit efficace. La soupente est un nid de poussière, mais surtout de courants d'air, vu que le bardage qui porte la fenêtre (cassée et obturée par des planches) se désolidarise de la stucture et va bientôt tomber...ce qui nécessite au moins de boucher tant bien que mal la trappe d'accès.
La porte est un piège à c.... Le verrou extérieur, bricolé pour qu'elle ferme en partant, ne sert à rien à l'intérieur. Mais il y a la serrure de la porte, dont le pène 1/2 tour (biseauté) s'enclenche et ferme la porte : c'est très bien si on est dedans, mais si on est dehors, makache : on ne rentre plus ! Certains on donc brisé la vitre de la fenêtre de gauche afin d'actionner la poignée.
Donc, ne pas claquer la porte en partant mais laisser un espace (bout de ficelle...).
Les deux tables, deux bancs, deux chaises, sont là.
Le poêle n'a plus ses cercles supérieurs, remplacés par un bout de tôle. Donc il fume, peu mais avec constance...d'où la nécessité d'ouvrir porte et fenêtres. Autant ne pas l'allumer.
Le puisard recueillant l'eau de pluie est alimenté (à traiter tout de même).
J'ai dormi...sur les tables, afin d'échapper aux vents coulis en provenance de la porte (ou de la soupente).
Tous à poêle, au secours !
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