Mobilité douce:de la prise de conscience au passage à l'acte
Mobilité douce:de la prise de conscience au passage à l'acte
Bonjour,
Je suis étudiant en informatique à Grenoble. Comme bon nombre d'entre vous, j'apprécie me rendre en montagne, et parfois coucher dans des refuges ou des abris.
Refuges.info est un concept qui exploite parfaitement les possibilités des technologies actuelles du web. Je remercie donc les auteurs de ce site, qui à n'en pas douter me sera utile cet été !
Cependant, au vu de la description des refuges et abris, je suis étonné, et presque choqué de voir que la sous-rubrique "accès" ne mentionne que les possibilités d'accès en voiture. Je ne possède pas de voiture (et je jure bien de ne jamais en avoir) je me refuse, par égard pour mes convictions et surtout pour la nature, de me rendre en montagne en voiture, même si c'est celle d'un ami avec qui je vais randonner. Je suis d'ailleurs parvenu à en convertir plus d'un à l'utilisation du bus !
Car il s'agit bien de l'alternative la plus sérieuse, surtout si l'on veut se rendre loin. Les partisants inconditionnels de la voiture (ainsi que ceux qui n'on jamais envisagé de prendre ce moyen de transport) lui reprocheront le manque de flexibilité des horaires. Il n'en est rien : par exemple, le réseau de l'Isère (Transisère) propose plusieurs bus par jour pour certaines lignes, largement de quoi assurer l'aller et le retour en montagne, même pour les courses d'un jour ! Par ailleurs, les points d'arrêts sont fréquents, et les chauffeurs généralement très complaisants.
J'irais même plus loin en vous assurant que la voiture est une contrainte ; seul le bus autorise les randonnées point-à-point et des traversées inédites. Oui, avec le bus, pas besoin de retourner à son point de départ ! Quant au tarif, il est bien sûr plus avantageux de prendre le bus : un aller avec une carte de 10 voyages revient à moins de 2 euros. Je vous laisse établir une comparaison avec le prix de revient total d'une voiture... Peut-être qu'un partenariat avec les réseaux de bus serait possible, et permettrait de donner un coup de pouce supplémentaire au site, non ?
Par ailleurs, étant également cycliste, je peux vous garantir qu'en été, les abords d'une route de montagne à fort trafic est autant, sinon davantage, polluée d'une artère d'une grande ville. Pas besoin d'appareils de mesure pour en arriver à cette conclusion : il suffit de respirer pour s'apercevoir que l'air n'est pas aussi pur qu'on était en droit d'espérer.
Il faut également considérer que la voiture est également le moyen de transport favori des touristes et autres faux amoureux de la nature, ces consommateurs de montagne qui sont le plus souvent les responsables de dégradations des abris...
Ainsi, il serait logique, en ces temps d'éveil des consciences, qu'une sous-rubrique "mobilité douce" soit ouverte dans les desriptions des refuges, pour enfin nous passions tous à l'acte, et pour que la promesses du respect de l'environnement que nous nous faisons tous soient enfin rejointes par nos actes !
Je vous encourage à consulter sur le site de Mountain Wilderness (association de protection de la montagne reconnue d'utilité publique) le document intitulé "Mobilité douce", qui aborde justement toutes ces questions. Pour les plus motivés, un concours destiné à planifier une sortie en montagne en utilisant exclusivement des moyens de transport raisonnés a été mis en place...
Je remercie ceux qui on eu le courage de me lire jusqu'ici, et je leur souhaite d'agréables virées en montagne, en toute conscience écologique évidement !
Je suis étudiant en informatique à Grenoble. Comme bon nombre d'entre vous, j'apprécie me rendre en montagne, et parfois coucher dans des refuges ou des abris.
Refuges.info est un concept qui exploite parfaitement les possibilités des technologies actuelles du web. Je remercie donc les auteurs de ce site, qui à n'en pas douter me sera utile cet été !
Cependant, au vu de la description des refuges et abris, je suis étonné, et presque choqué de voir que la sous-rubrique "accès" ne mentionne que les possibilités d'accès en voiture. Je ne possède pas de voiture (et je jure bien de ne jamais en avoir) je me refuse, par égard pour mes convictions et surtout pour la nature, de me rendre en montagne en voiture, même si c'est celle d'un ami avec qui je vais randonner. Je suis d'ailleurs parvenu à en convertir plus d'un à l'utilisation du bus !
Car il s'agit bien de l'alternative la plus sérieuse, surtout si l'on veut se rendre loin. Les partisants inconditionnels de la voiture (ainsi que ceux qui n'on jamais envisagé de prendre ce moyen de transport) lui reprocheront le manque de flexibilité des horaires. Il n'en est rien : par exemple, le réseau de l'Isère (Transisère) propose plusieurs bus par jour pour certaines lignes, largement de quoi assurer l'aller et le retour en montagne, même pour les courses d'un jour ! Par ailleurs, les points d'arrêts sont fréquents, et les chauffeurs généralement très complaisants.
J'irais même plus loin en vous assurant que la voiture est une contrainte ; seul le bus autorise les randonnées point-à-point et des traversées inédites. Oui, avec le bus, pas besoin de retourner à son point de départ ! Quant au tarif, il est bien sûr plus avantageux de prendre le bus : un aller avec une carte de 10 voyages revient à moins de 2 euros. Je vous laisse établir une comparaison avec le prix de revient total d'une voiture... Peut-être qu'un partenariat avec les réseaux de bus serait possible, et permettrait de donner un coup de pouce supplémentaire au site, non ?
Par ailleurs, étant également cycliste, je peux vous garantir qu'en été, les abords d'une route de montagne à fort trafic est autant, sinon davantage, polluée d'une artère d'une grande ville. Pas besoin d'appareils de mesure pour en arriver à cette conclusion : il suffit de respirer pour s'apercevoir que l'air n'est pas aussi pur qu'on était en droit d'espérer.
Il faut également considérer que la voiture est également le moyen de transport favori des touristes et autres faux amoureux de la nature, ces consommateurs de montagne qui sont le plus souvent les responsables de dégradations des abris...
Ainsi, il serait logique, en ces temps d'éveil des consciences, qu'une sous-rubrique "mobilité douce" soit ouverte dans les desriptions des refuges, pour enfin nous passions tous à l'acte, et pour que la promesses du respect de l'environnement que nous nous faisons tous soient enfin rejointes par nos actes !
Je vous encourage à consulter sur le site de Mountain Wilderness (association de protection de la montagne reconnue d'utilité publique) le document intitulé "Mobilité douce", qui aborde justement toutes ces questions. Pour les plus motivés, un concours destiné à planifier une sortie en montagne en utilisant exclusivement des moyens de transport raisonnés a été mis en place...
Je remercie ceux qui on eu le courage de me lire jusqu'ici, et je leur souhaite d'agréables virées en montagne, en toute conscience écologique évidement !
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- Enregistré le : 12 avr. 2008, 20:35
- Localisation : Beaujolais
Bonjour Invité,
J'ai lu jusqu'au bout et je partage le fond, mais attention à la forme car on peut être en voiture et un vrai amoureux de la nature. (Hugo disait "la forme c'est le fond que l'on voit en surface" c'est donc plus important qu'il n'y parait). Je suis d'accord avec toi pour promouvoir les déplacement doux, je voyage le plus possible en train mais parfois c'est vraiment pas évident.
Je viens de Juliénas, et je prends donc ma voiture pour me rendre en montagne, cependant je co-voiture le plus possible.
Si je veux partir le samedi matin (la semaine je bosse, donc c'est le plus probable), je ne paux pas arriver avant 10h11 à Grenoble, et encore j'aurai fait 25 bornes en voiture pour aller à la gare de belleville sur saone... dernier départ pour le retour 19h44 de Grenoble, arrivée 22h01 à Belleville, 22h30 chez moi...
Pas toujours facile.
J'ai lu jusqu'au bout et je partage le fond, mais attention à la forme car on peut être en voiture et un vrai amoureux de la nature. (Hugo disait "la forme c'est le fond que l'on voit en surface" c'est donc plus important qu'il n'y parait). Je suis d'accord avec toi pour promouvoir les déplacement doux, je voyage le plus possible en train mais parfois c'est vraiment pas évident.
Je viens de Juliénas, et je prends donc ma voiture pour me rendre en montagne, cependant je co-voiture le plus possible.
Si je veux partir le samedi matin (la semaine je bosse, donc c'est le plus probable), je ne paux pas arriver avant 10h11 à Grenoble, et encore j'aurai fait 25 bornes en voiture pour aller à la gare de belleville sur saone... dernier départ pour le retour 19h44 de Grenoble, arrivée 22h01 à Belleville, 22h30 chez moi...
Pas toujours facile.
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Je peux comprendre évidement les contraintes de chacun particulièrement ceux qui n'habitent pas dans une zone bien desservie par les réseaux de bus.
Cependant, au départ d'une grande ville comme Grenoble, l'acte est réellement facile et réalisable !
Cela m'ammène à des questionnements plus profonds sur notre société : si justement c'est parfois si compliqué de se mouvoir écologiquement, c'est justement parce que depuis des années, le mode de transport individuel (représenté par la voiture) a été privilégié par rapports aux moyens de transport collectifs... Dans ce contexte, l'usager actuel n'a effectivement d'autre choix que de se conformer au modèle établi, mais ce n'est pas toujours à son avantage et à celui de l'environnement.
J'ai discuté avec un chauffeur de bus de Villard-de-Lans qui me disait que c'était une chance que le réseau Transisère soit si développé, et son prix si modique pour l'usager. Je pense qu'il faut donc se renseigner au maximum si les possibilités de mobilité douce autour de chez soi, et éviter tant que faire se peut le réflexe "voiture".
J'aime particulièrement ne pas rentrer dans ce modèle et prendre des moyens de transport raisonnés. Je n'arriverais pas à me sentir pleinement heureux en montagne si je ne m'y étais pas rendu en tentant de minimiser au maximum mon impact. L'avantage est double : comme j'en faisais mention, des itinéraires inédits devienent possibles en utilisant le bus !
Mais encore une fois, je peux comprendre les obligations de chacun. Je ne me veux pas moralisateur ; je cherche seulement à faire part de mon expérience et mes observations pour démontrer que dans bien des cas, l'usage systématique de la voiture, tel que les lobbys automobiles et pétroliers nous y ont habitué, peut être avantageusement remplacé par des moyens de transport plus doux.
Cependant, au départ d'une grande ville comme Grenoble, l'acte est réellement facile et réalisable !
Cela m'ammène à des questionnements plus profonds sur notre société : si justement c'est parfois si compliqué de se mouvoir écologiquement, c'est justement parce que depuis des années, le mode de transport individuel (représenté par la voiture) a été privilégié par rapports aux moyens de transport collectifs... Dans ce contexte, l'usager actuel n'a effectivement d'autre choix que de se conformer au modèle établi, mais ce n'est pas toujours à son avantage et à celui de l'environnement.
J'ai discuté avec un chauffeur de bus de Villard-de-Lans qui me disait que c'était une chance que le réseau Transisère soit si développé, et son prix si modique pour l'usager. Je pense qu'il faut donc se renseigner au maximum si les possibilités de mobilité douce autour de chez soi, et éviter tant que faire se peut le réflexe "voiture".
J'aime particulièrement ne pas rentrer dans ce modèle et prendre des moyens de transport raisonnés. Je n'arriverais pas à me sentir pleinement heureux en montagne si je ne m'y étais pas rendu en tentant de minimiser au maximum mon impact. L'avantage est double : comme j'en faisais mention, des itinéraires inédits devienent possibles en utilisant le bus !
Mais encore une fois, je peux comprendre les obligations de chacun. Je ne me veux pas moralisateur ; je cherche seulement à faire part de mon expérience et mes observations pour démontrer que dans bien des cas, l'usage systématique de la voiture, tel que les lobbys automobiles et pétroliers nous y ont habitué, peut être avantageusement remplacé par des moyens de transport plus doux.
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- Enregistré le : 08 avr. 2006, 21:58
Bonjour,
Je suis parisien, plus étudiant depuis bientôt une trentaine d’année, ex-écologiste depuis à peu prés la même période et je n’utilise que très rarement ma voiture pour aller en montagne.
Je suis ravi du sujet de ton post (j’abonde dans ton sens) mais je ne vois pas bien ce qui a pu te faire croire que nos indications favorisaient la voiture automobile, sinon la déformation de ta propre vision : il a parlé de bitume : donc de bagnole.
Je ne voyais pas les commentaires de WRI sous cet angle : qu’on arrive en train, bus, taxi, vélo, à pied ou à cheval, on vient toujours par une route goudronnée, et les descriptions des accès sont exactement les mêmes.
Si un grand nombre des refuges et points d’eau cités sur WRI sont au bord d’une route, ce n’est pas pour l’usage des automobilistes, mais pour les itinérants à qui ces renseignements sont fort utiles (à quoi diable pourrait donc servir à un automobiliste le refuge du Grand Veymont, situé à l’intérieur de la station de Gresse par exemple ?)
Personnellement, je ne répugne pas à l’utilisation de la voiture individuelle comme moyen de transport, mais je ne vois pas à quoi elle pourrait me servir :
- pour venir de Paris (le TGV, ou mieux le train couchette, sont bien plus efficaces)
- pour faire une traversée (c’est même carrément incompatible comme tu l'as dit)
J’utilise pour cela tous les transports en « commun » existants : le réseau Transisère, bien sur, mais aussi le réseau TAM, Transdrôme, … mais surtout (je suis fana de train) les petites gares de montagne : ligne de Grenoble à Gap, ligne de la vallée de la Roya, ligne qui passe à Die, Toulouse la Tour de Carol, le train jaune, … sans oublier les taxis locaux et bus SNCF ayant remplacé les anciennes lignes de train (ha ! la gare de Cauterets !).
Je n’ai jamais éprouvé le moindre problème pour me rendre dans un point quelconque d’une montagne par les TC. Il faut et il suffit de se renseigner, vérifier, … et d’un peu d’imagination et de patience et ça me semble tellement évident que je ne vois pas quoi ajouter aux cartes et aux sites dédiés à ces transports (et n° de téléphones !!! on peut aussi causer que diable).
Nous avions créé, au début du site, des points « gare » et « bus », que j’avais commencé à renseigner, mais il faut bien avouer que le recensement des gares et arrêt de bus est exhaustif et bien plus à jour sur voyages-sncf.com, ter-sncf.com et autres sites des compagnies de car. Un double recensement ne pourrait qu’apporter de la confusion.
D’autre part, WRI ne se veut pas un site militant pour ou contre le goudron, le vélo ou le nourrissage des marmottes, ni un site de topos, mais un site d’informations factuelles sur certaines ressources de la montagne.
Ceci dit, j’apprécie ton plaidoyer en faveur de la mobilité douce et je suis prêt à mettre en place sur WRI tout ce qui pourrait la favoriser. Si tu as des idées précises, n’hésite pas à en discuter sur ce post.
Cordialement.
Je suis parisien, plus étudiant depuis bientôt une trentaine d’année, ex-écologiste depuis à peu prés la même période et je n’utilise que très rarement ma voiture pour aller en montagne.
Je suis ravi du sujet de ton post (j’abonde dans ton sens) mais je ne vois pas bien ce qui a pu te faire croire que nos indications favorisaient la voiture automobile, sinon la déformation de ta propre vision : il a parlé de bitume : donc de bagnole.
Je ne voyais pas les commentaires de WRI sous cet angle : qu’on arrive en train, bus, taxi, vélo, à pied ou à cheval, on vient toujours par une route goudronnée, et les descriptions des accès sont exactement les mêmes.
Si un grand nombre des refuges et points d’eau cités sur WRI sont au bord d’une route, ce n’est pas pour l’usage des automobilistes, mais pour les itinérants à qui ces renseignements sont fort utiles (à quoi diable pourrait donc servir à un automobiliste le refuge du Grand Veymont, situé à l’intérieur de la station de Gresse par exemple ?)
Personnellement, je ne répugne pas à l’utilisation de la voiture individuelle comme moyen de transport, mais je ne vois pas à quoi elle pourrait me servir :
- pour venir de Paris (le TGV, ou mieux le train couchette, sont bien plus efficaces)
- pour faire une traversée (c’est même carrément incompatible comme tu l'as dit)
J’utilise pour cela tous les transports en « commun » existants : le réseau Transisère, bien sur, mais aussi le réseau TAM, Transdrôme, … mais surtout (je suis fana de train) les petites gares de montagne : ligne de Grenoble à Gap, ligne de la vallée de la Roya, ligne qui passe à Die, Toulouse la Tour de Carol, le train jaune, … sans oublier les taxis locaux et bus SNCF ayant remplacé les anciennes lignes de train (ha ! la gare de Cauterets !).
Je n’ai jamais éprouvé le moindre problème pour me rendre dans un point quelconque d’une montagne par les TC. Il faut et il suffit de se renseigner, vérifier, … et d’un peu d’imagination et de patience et ça me semble tellement évident que je ne vois pas quoi ajouter aux cartes et aux sites dédiés à ces transports (et n° de téléphones !!! on peut aussi causer que diable).
Nous avions créé, au début du site, des points « gare » et « bus », que j’avais commencé à renseigner, mais il faut bien avouer que le recensement des gares et arrêt de bus est exhaustif et bien plus à jour sur voyages-sncf.com, ter-sncf.com et autres sites des compagnies de car. Un double recensement ne pourrait qu’apporter de la confusion.
D’autre part, WRI ne se veut pas un site militant pour ou contre le goudron, le vélo ou le nourrissage des marmottes, ni un site de topos, mais un site d’informations factuelles sur certaines ressources de la montagne.
Ceci dit, j’apprécie ton plaidoyer en faveur de la mobilité douce et je suis prêt à mettre en place sur WRI tout ce qui pourrait la favoriser. Si tu as des idées précises, n’hésite pas à en discuter sur ce post.
Cordialement.
Dominique http://chemineur.fr
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- Messages : 11
- Enregistré le : 08 mai 2008, 16:51
Bonjour !
Il est vrai que beaucoup de descriptions de refuges ont une description de l'accès assez neutre quant au mode de transport préalable. Certaines font explicitement référence à la voiture, comme celle du Refuge du Pré du mollard. J'avoue que le point de vue de refuges.info semble plus neutre que celui de grenoble-montagne.com, qui fait systématiquement référence à la voiture pour l'accès aux idées de sorties proposées.
Effectivement, le pluapart du temps il suffit de se renseigner un peu et de faire quelques recherches sur internet, mais des années d'habitudes de l'automobile ont peu à peu fait oublier toutes ces possibilités alternatives. Comme vous le soulignez, quand la voiture n'est pas indispensable, voire moins pratique (cas des traversées), pourquoi s'en encombrer ?
Je comprends parfaitement votre point de vue quant au référencement des moyens de transport alternatifs, qui peut vite s'avérer complexe ! Sans compter que cela dépend aussi de l'itinéraire des promeneurs, qui n'ont pas forcément démarré leur rando à proximité du refuge.
La suggestion que j'aurai à faire serait de reporter l'information lorsqu'un membre en fait part dans un commentaire (ligne de bus utilisée et arrêt de descente pour le bus, gare terminale pour le train). Dans ce cas, il faudrait inviter les membres à parler de leur moyen de transport lorsqu'il ne s'agit pas de la voiture.
L'information la plus récente est sur les sites des réseaux de transport eux-mêmes : je suis entitèrement d'accord. Dans ce cas, un lien dans la sous-rubrique accès pourrait très probablement aider les visiteurs à calculer un itinéraire avec le train ou le bus. Au moins, cela fournirait une premère idée (en coût et en horaires) qui permettrait de franchir le pas plus facilement. Peut-être même qu'un partenariat est possible avec des sites (statistiques de fréquentation de refuges.info à l'appui...).
Hors-sujet : même si je suis encore assez jeune, je ne pense pas que je puisse un jour ignorer toutes mes conviction écologistes. Qui plus est, les choses ne me semblent pas aller en s'améliorant dans ce domaine ! Si ce n'est pas indiscret, pourquoi "ex-écologiste" ?
Il est vrai que beaucoup de descriptions de refuges ont une description de l'accès assez neutre quant au mode de transport préalable. Certaines font explicitement référence à la voiture, comme celle du Refuge du Pré du mollard. J'avoue que le point de vue de refuges.info semble plus neutre que celui de grenoble-montagne.com, qui fait systématiquement référence à la voiture pour l'accès aux idées de sorties proposées.
Effectivement, le pluapart du temps il suffit de se renseigner un peu et de faire quelques recherches sur internet, mais des années d'habitudes de l'automobile ont peu à peu fait oublier toutes ces possibilités alternatives. Comme vous le soulignez, quand la voiture n'est pas indispensable, voire moins pratique (cas des traversées), pourquoi s'en encombrer ?
Je comprends parfaitement votre point de vue quant au référencement des moyens de transport alternatifs, qui peut vite s'avérer complexe ! Sans compter que cela dépend aussi de l'itinéraire des promeneurs, qui n'ont pas forcément démarré leur rando à proximité du refuge.
La suggestion que j'aurai à faire serait de reporter l'information lorsqu'un membre en fait part dans un commentaire (ligne de bus utilisée et arrêt de descente pour le bus, gare terminale pour le train). Dans ce cas, il faudrait inviter les membres à parler de leur moyen de transport lorsqu'il ne s'agit pas de la voiture.
L'information la plus récente est sur les sites des réseaux de transport eux-mêmes : je suis entitèrement d'accord. Dans ce cas, un lien dans la sous-rubrique accès pourrait très probablement aider les visiteurs à calculer un itinéraire avec le train ou le bus. Au moins, cela fournirait une premère idée (en coût et en horaires) qui permettrait de franchir le pas plus facilement. Peut-être même qu'un partenariat est possible avec des sites (statistiques de fréquentation de refuges.info à l'appui...).
Hors-sujet : même si je suis encore assez jeune, je ne pense pas que je puisse un jour ignorer toutes mes conviction écologistes. Qui plus est, les choses ne me semblent pas aller en s'améliorant dans ce domaine ! Si ce n'est pas indiscret, pourquoi "ex-écologiste" ?
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- Enregistré le : 12 avr. 2008, 20:35
- Localisation : Beaujolais
Vu ton message Dominique, j'imagine que tu veux dire "ex-militant écolo", mais par ton action de tout les jours n'es-tu pas écolo ? Tri des déchets, prise des transports en commun, ... Je parie que tu as des ampoules basse-consommation chez toi
Bienvenu au club de ceux qui essaient de faire ce qu'ils estiment pouvoir faire
Et en tant qu'agent d'une filiale d'EDF et militant syndical des fois c'est dur de ne pas me faire des nœuds dans la tête
Bienvenu au club de ceux qui essaient de faire ce qu'ils estiment pouvoir faire
Et en tant qu'agent d'une filiale d'EDF et militant syndical des fois c'est dur de ne pas me faire des nœuds dans la tête
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- Messages : 89
- Enregistré le : 13 mars 2008, 10:06
- Localisation : grenoble
Moi, question " Changer d'approche" , comme dit Moutain Wilderness,
je me contente de limiter au maximun loin déplacements pour la montagne.
Quand je vois des Grenoblois ou des lyonnais qui pour le w end, alors qu'il y a de la belle neige partout,
vont à Val d'Isère où je ne sais pour aller skier, je trouve pas ça très malin...
Sinon, oui, ça manque peut être sur Refuges info, une rubrique liens utiles, liens écolos etc.. =
y faire figurer déjà le lien pour Transisère, ou liens d'autres transports collectifs, ça ferait un peu avancer le schmilblick..
Et puis , je serais chaud partisan d'une campagne de promotion pour l'autostop !,
que je pratiquais beaucoup autrefois, mais qui semble devenu difficile à pratiquer
( "chacun sa bagnole et Dieu pour tous", des rocades et autoroutes partout qui rendent accès pour stoppeurs compliqués , etc etc...)
je me contente de limiter au maximun loin déplacements pour la montagne.
Quand je vois des Grenoblois ou des lyonnais qui pour le w end, alors qu'il y a de la belle neige partout,
vont à Val d'Isère où je ne sais pour aller skier, je trouve pas ça très malin...
Sinon, oui, ça manque peut être sur Refuges info, une rubrique liens utiles, liens écolos etc.. =
y faire figurer déjà le lien pour Transisère, ou liens d'autres transports collectifs, ça ferait un peu avancer le schmilblick..
Et puis , je serais chaud partisan d'une campagne de promotion pour l'autostop !,
que je pratiquais beaucoup autrefois, mais qui semble devenu difficile à pratiquer
( "chacun sa bagnole et Dieu pour tous", des rocades et autoroutes partout qui rendent accès pour stoppeurs compliqués , etc etc...)
Montagnards de tous les pays,..., unissez-vous !
http://lorangerie.blog4ever.com/blog/index-103978.html
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- Enregistré le : 12 avr. 2008, 20:35
- Localisation : Beaujolais
Allez je commence:
http://www.covoiturage.fr : Site de covoiturage pour tout type de trajet (regulier ou pas, conducteur ou passager...)
http://www.covoiturage.fr : Site de covoiturage pour tout type de trajet (regulier ou pas, conducteur ou passager...)
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- Enregistré le : 08 avr. 2006, 21:58
3 solutions :loranger a écrit :Sinon, oui, ça manque peut être sur Refuges info, une rubrique liens utiles, liens écolos etc.. =
y faire figurer déjà le lien pour Transisère, ou liens d'autres transports collectifs, ça ferait un peu avancer le schmilblick..
- Réactiver les points bus et train : ce sont des ressources à signaler, qu’il peut être utile de visualiser sur la carte (au moins les arrêts qui présentent un intérêt pour les buts que nous poursuivons ici).
Certes, les compagnies de transport ont des sites dédiés, mais ils ne sont pas toujours faciles à trouver, et il n’est pas évident en lisant une carte d’arriver à avoir l’information : est ce que les trains s’arrêtent sur demande à l’arrêt « Les Blancs » (entre la station de Clelles et de la Croix haute) ? Je le sais parce que j’ai demandé au contrôleur … c’est le tupe d'info qu’on pourrait faire figurer et que des internautes ayant fait l’expérience pourraient mettre à jour.
J’avais fait créer ces points (et même dessiné une icône), mais je n’avais pas été très loin dans leur population, ayant un peu l’impression d’être le dernier des dinosaures à concevoir la montagne comme ça, mais puisque de nouveaux participants on l’air d’avoir des idées, on pourrait re essayer.
Ça me semble être dans l’esprit de WRI.
J’ai pour ma part de nombreux points testés personnellement à faire figurer.
- Ajouter sur chaque fiche de refuge le moyen le plus simple de s’y rendre en TC. Ça me semble encore plus lourd et difficile à maintenir
- Créer des pages spéciales « comment se déplacer en montagne » en mentionnant TOUS les moyens de transport possible (y inclus la voiture individuelle).
Seul le partage des idées et des information peut amener à réfléchir, peser le pour et le contre, puis constater qu’il y a de multiples façons de se déplacer et choisir la plus adéquate (qui est quelquefois la voiture individuelle).
Bien vu. On peut aussi signaler : les voitures de locations (formule que j’utilise souvent).ThierryZ a écrit :Allez je commence:http://www.covoiturage.fr : Site de covoiturage pour tout type de trajet (regulier ou pas, conducteur ou passager...)
Je ne résiste pas au plaisir de signaler que tous ces moyens alternatifs à la voiture individuelle utilisent les parkings dont la description, soit disant choquante, à lancé ce débat.
Je ne milite que contre la pensée unique. Je n’utilise pas ma voiture que quand je trouve qu’il y a un meilleur moyen pour faire ce que je veux faire (et en réfléchissant, c’est souvent le cas).ThierryZ a écrit :Vu ton message Dominique, j'imagine que tu veux dire "ex-militant écolo"
Je ne veux pas qu’on m’explique qu’il ne FAUT pas avoir de voiture, ni qu’il ne FAUT pas en parler, ni qu’il FAUT développer les biocarburants, puis qu’il ne FAUT pas (oups, on s’était trompé), ou qu'il ne FAUT pas nourrir les marmottes. Je veux qu’on REFLECHISSE.
Voilà, c’était ma page vieux donneur de leçon.
Dominique http://chemineur.fr
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- Messages : 11
- Enregistré le : 08 mai 2008, 16:51
J'avoue que parfois je redescends en stop ! Et je trouve que c'est plutôt facile : généralement, la voiture qui s'arrête est dans les cinq premières tentatives. N'y voyez pas là une incohérence de ma part : même si l'automobiliste qui me prend en charge n'est pas monté en bus, il me rend service et je propose souvent une contrepartie. La plupart du temps, les chauffeurs déclinent. Et ça permet aussi de sympathiser, de connaître des personnes avec qui je refait parfois des sorties. Le covoiturage est une forme de déplacement raisonné...loranger a écrit : Et puis , je serais chaud partisan d'une campagne de promotion pour l'autostop !,
que je pratiquais beaucoup autrefois, mais qui semble devenu difficile à pratiquer
( "chacun sa bagnole et Dieu pour tous", des rocades et autoroutes partout qui rendent accès pour stoppeurs compliqués , etc etc...)
Intéressant aussi : le vélo-bus, charger son vélo dans une soute du bus à la montée, et redescendre sans l'aide d'autrui, écologiquement et sans contraintes d'horaires. Cela se prête bien à la topologie grenobloise, mais n'est bien sûr pas forcément transposable ailleurs. Je rentre d'une sortie au col de Porte réalisée ainsi, où j'ai fait Chamechaude en courant, et enchaîné sur le Charmant Som à vélo (où les taches de neige restantes sur la route empêchent toujours les voitures de passer, ce qui permet à la route de "respirer" !).
Concernant l'ajout des informations relatives aux TC sur WRI, les points de bus et gares sont une excellente idée. La carte est la première source d'information consultée je présume, et aussi le mode de visualisation le plus pratique.
Le site transisere.fr a été récement rénové, les horaires et les points de chute sont vraiment faciles à trouver (recherche par numéro de ligne ou commune).
Dominique : effectivement, dans tous les cas, une bonne reflexion personnelle sur un sujet vaut mieux que de se faire influencer (manipuler ?)...
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- Messages : 285
- Enregistré le : 14 déc. 2005, 12:33
Sur le sujet, on relira la discussion au sujet des points "arrêt de bus" et "gare" que nous avons eu il n'y a pas si longtemps, voir http://www.refuges.info/forum/viewtopic.php?t=1974
J'en reste à ce que j'avais dit alors :
Nicolas315, refuges.info est un site collaboratif, si le sujet te tient vraiment à coeur, tu n'as qu'à entrer toi-même les informations pertinentes sur les fiches !
Sinon tu n'es qu'un "consommateur de refuges.info", comme ces "consommateurs de montagne" que tu fustiges.
J'en reste à ce que j'avais dit alors :
Ceci dit, Nicolas315 nous suggère :Je suis 100% partisan (10% pratiquant) de l'utilisation des TC quand c'est possible (pas souvent) pour accèder en montagne.
Cependant, je ne pense pas que refuges.info puisse recenser efficacement les lignes et les arrêts de bus (ou de train).
Les réseaux (transisere, sncf...) ont leurs propres sites avec les horaires et le plan des lignes consultables en ligne - nous ne pouvons rien faire de mieux
Je suis évidemment d'accord, et je préfère cette solution à celle d'avoir des points "arrêt de bus" et "gare" qui ont existé passé un temps sur refuges.infoLa suggestion que j'aurai à faire serait de reporter l'information lorsqu'un membre en fait part dans un commentaire (ligne de bus utilisée et arrêt de descente pour le bus, gare terminale pour le train).
Nicolas315, refuges.info est un site collaboratif, si le sujet te tient vraiment à coeur, tu n'as qu'à entrer toi-même les informations pertinentes sur les fiches !
Sinon tu n'es qu'un "consommateur de refuges.info", comme ces "consommateurs de montagne" que tu fustiges.
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Je viens de faire une telle tentative au sujet du Habert des Rammées, en contre-bas du Moucherotte. Dans la description, il y était explicitement fait mention de "garer au stade de neige puis monter dans les pistes de ski jusqu'a croiser un chemin 4x4"... Je m'en excuse auprès de l'auteur, mais j'y vois là un bel exemple d'un discours banalisateur de l'usage des engins motorisés en montagne. C'est un autre débat, mais je pensais qu'ils étaient réglementés dans les parcs naturels, non ?Nicolas Masson a écrit :Sinon tu n'es qu'un "consommateur de refuges.info", comme ces "consommateurs de montagne" que tu fustiges.
Bien sûr, je ne manquerai pas de préciser les gares/lignes de bus que j'aurai empruntées au sujet d'autres refuges.
C'est vrai que placer des points bus et train peut représenter un travail conséquent, qui plus est redondant avec les informations que proposent les sites des réseaux. Placer un lien direct dans la rubrique "accès" vers une les informations d'une ligne permettant d'accéder au refuge en question serait une solution simple pour à la fois informer de l'existence d'un mode d'accès en TC, et fournir le minimum d'informations pour permettre d'essayer ce mode de transport. Comme on le soulignait précédement, tout commence par un minimum d'information !Les réseaux (transisere, sncf...) ont leurs propres sites avec les horaires et le plan des lignes consultables en ligne - nous ne pouvons rien faire de mieux
Le document de Mountain Wilderness me semble également assez éloquent pour être signalé quelque part, même si le site est avant-tout dédié aux refuges et abris (auxquels il faut nécessairement se rendre en utilisant un moyen de transport...).
Une petite anectode : un ami vient de passer trois jours dans le Dévoluy. Il s'y est rendu en train, alors que les autres membres de son groupe ont préféré la voiture. A la gare de Lus-la-Croix-Haute, il a attendu le reste du groupe pendant une heure, retardés par des bouchons...
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1) J'ai fait la modification dans le champ "accès" de la fiche du refuge.Nicolas315 a écrit :
Je viens de faire une telle tentative au sujet du Habert des Rammées, en contre-bas du Moucherotte. Dans la description, il y était explicitement fait mention de "garer au stade de neige puis monter dans les pistes de ski jusqu'à croiser un chemin 4x4"... Je m'en excuse auprès de l'auteur, mais j'y vois là un bel exemple d'un discours banalisateur de l'usage des engins motorisés en montagne. C'est un autre débat, mais je pensais qu'ils étaient réglementés dans les parcs naturels, non ?
2) Tu pourrais le faire toi-même en demandant aux webmasters de te nommer "modérateur". Cela te permet de modifier les fiches, les commentaires et les messages des forum.
Il est quand même recommandé aux modérateurs débutants d'utiliser leurs superpouvoirs avec parcimonie, certains croyant bien faire sont passés pour d'affreux censeurs.
3) A propos de la piste carrossable qui monte du Stade de Neige de Lans au Moucherotte : elle a été créée pour permettre l'accès des engins au chantier du démantèlement de l'ancien hôtel, un mal pour un bien.
4) Tu te trompes, dans un parc naturel régional, il n'y a a priori aucune réglementation particulière de protection de l'environnement. Les règles pour la circulation des engins motorisés dans les espaces naturels sont les mêmes qu'ailleurs (Loi Lalonde) sauf que dans un Parc Naturel Régional, il peut arriver que quelqu'un se donne la peine de faire appliquer ces règles.
Nous sommes entièrement d'accord.Nicolas315 a écrit : C'est vrai que placer des points bus et train peut représenter un travail conséquent, qui plus est redondant avec les informations que proposent les sites des réseaux. Placer un lien direct dans la rubrique "accès" vers une les informations d'une ligne permettant d'accéder au refuge en question serait une solution simple pour à la fois informer de l'existence d'un mode d'accès en TC, et fournir le minimum d'informations pour permettre d'essayer ce mode de transport.
Mais encore une fois, refuges.info est un site collaboratif, les "yaka" et les "fokon" ne mènent à rien. Ceci ne se fera pas si tu n'y participes pas.
PS :
Tu parles beaucoup de Mountain Wilderness, j'espère que tu es à jour de ta cotisation, et que tu connais le nom du nouveau Secrétaire Général...
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La fiche du Habert des Rammées actualisée montre bien les modes de transport, et donne toutes les informations aux visiteurs. Je trouve que c'est mieux qu'avant, où l'implicite faisait penser qu'il n'était possible d'y accéder qu'à l'aide de la voiture.
Donc non, pour l'instant, je ne cotise pas, mais il se pourrait très bien qu'une fois salarié je m'investisse davantage dans cette association. Et il y a quantité d'autres mouvements locaux ou de plus grande envergure (je me souviens avec donné 5 euros pour le projet Wikipédia) que je voudrais soutenir. Il n'est raisonnablement pas possible de m'y investir actuellement, financièrement ou en temps. Je peux t'assurer qu'en école d'ingénieurs (en informatique en l'occurrence), tout est fait pour former de futurs cadres surchargés de travail : entre les cours, les td et les projets "en service libre", je n'ai définivement au delà des 35 heures. Encore une fois, cela changera par la suite...
Quant au nom du secrétaire, non, je ne le connais pas. Mais je trouve infiniment plus utile de savoir que Moutain Wilderness a contribué à ce que Chamechaude retrouve sa virginité en débarrassant le sommet d'un téléski dont il ne reste plus trace aujoud'hui. J'aime aussi lire les citations de membres éminents de Moutain Wilderness, comme Haroun Tazief ou Samivel, qui a dit :
Comme j'entrevois une remarque du type "as tu des actions chez Transisère ?", je répondrai par avance que non. Mais comme je leur suis infiniment reconaissant de m'ouvrir l'accès en montagne pour un prix dérisoire et un impact écologique moindre, je ne peux que partager mon expérience avec le message suivant : une autre (meilleure) solution est possible !
Je te répond en me citant :Nicolas Masson a écrit :Mais encore une fois, refuges.info est un site collaboratif, les "yaka" et les "fokon" ne mènent à rien. Ceci ne se fera pas si tu n'y participes pas.
De là à devenir modérateur, peut-être pas dans un premier temps. Mais tu peux compter sur moi pour distiller des informations sur les TC quand j'en aurai à fournir.Nicolas Masson a écrit :Bien sûr, je ne manquerai pas de préciser les gares/lignes de bus que j'aurai empruntées au sujet d'autres refuges.
Comme je l'ai précisé, je suis encore étudiant, ce qui est immédiatement synonyme de ressources limitées... Par ailleurs, je pense qu'une adhésion aux idées véhiculées par l'association est préalable à toute adhésion financière. Les idées de Moutain Wilderness m'ont eveillé à toute l'importance du respect de la montagne (et aux bénéfice que j'en retirerais poru ma conscience), et des documents comme celui sur la mobilité douce peuvent motiver un changement de comportement.Nicolas Masson a écrit :Tu parles beaucoup de Mountain Wilderness, j'espère que tu es à jour de ta cotisation, et que tu connais le nom du nouveau Secrétaire Général...
Donc non, pour l'instant, je ne cotise pas, mais il se pourrait très bien qu'une fois salarié je m'investisse davantage dans cette association. Et il y a quantité d'autres mouvements locaux ou de plus grande envergure (je me souviens avec donné 5 euros pour le projet Wikipédia) que je voudrais soutenir. Il n'est raisonnablement pas possible de m'y investir actuellement, financièrement ou en temps. Je peux t'assurer qu'en école d'ingénieurs (en informatique en l'occurrence), tout est fait pour former de futurs cadres surchargés de travail : entre les cours, les td et les projets "en service libre", je n'ai définivement au delà des 35 heures. Encore une fois, cela changera par la suite...
Quant au nom du secrétaire, non, je ne le connais pas. Mais je trouve infiniment plus utile de savoir que Moutain Wilderness a contribué à ce que Chamechaude retrouve sa virginité en débarrassant le sommet d'un téléski dont il ne reste plus trace aujoud'hui. J'aime aussi lire les citations de membres éminents de Moutain Wilderness, comme Haroun Tazief ou Samivel, qui a dit :
Je suis encore jeune (22 ans), j'ai tout le temps de m'investir ! Et par rapport aux jeunes de mon âge, je peux te garantir que j'ai une des plus fortes convictions en matière d'écologie. Et ça, c'est bien plus fort et pérène qu'une banale cotisation à une association...Il existe un monde d'espace, d'eau libre, de bêtes naïves où brille encore la jeunesse du monde et il dépend de nous, et de nous seul, qu'il survive...
Comme j'entrevois une remarque du type "as tu des actions chez Transisère ?", je répondrai par avance que non. Mais comme je leur suis infiniment reconaissant de m'ouvrir l'accès en montagne pour un prix dérisoire et un impact écologique moindre, je ne peux que partager mon expérience avec le message suivant : une autre (meilleure) solution est possible !
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Pour ceux que cela pourrait intéresser, et pour vous donner des idées, voici la liste de mes traversées réalisées entièrement en TC, en itinérant, avec mes enfants :
1997 : Parc des volcans : Gare de Volvic (SNCF) -> Gare du Mont Dore (SNCF)
1998 : Vercors : Corrençon (Transisère) -> Gare de Die (SNCF)
1999 : Vanoise : Les Arcs 2100 (Funiculaire + navette) -> Pralognan (Car SNCF)
2000 : Ariège (Carlit) : gare de Porta (SNCF) -> Gare de Mérens (SNCF)
2001 : Verdon : Riez (car Nice) -> Castellanne (Car Sumian)
2001 : Mercantour : Tende (Gare SNCF) -> Saint Martin de Vésubie (car)
2002 : Vercors : Gare de Clelle (SNCF) -> Corrençon (Transisère)
2002 : Vanoise : Pralognan (Car SNCF) -> Gare Modane (SNCF)
2003 : Alsace (Mt St Odile) : de Barr à Barr (Gare SNCF)
2003 : Vanoise : Gare Modane (+ taxi -> Orgères) -> Val d’Isère (bus SNCF)
2004 : Ecrins : Gare Gap (+ taxi -> Les Gondouins) -> Bourg d’Arud (Bus de La Bérarde)
2005 : Paradis : Gare Aoste (+ bus jusqu'à Pont) -> La Thuile (Bus Tignes – B.St Maurice)
2006 : Ht Pyrénées (Néouvielle) : La Mongie (car SNCF) -> Barèges (car SNCF)
2007 : Ariège (HRP) : Gare de l’Hospitalet (SNCF) -> Gare de Mérens (SNCF)
2008 : Vercors : Gare de Clelle (SNCF) -> gare de Monestier (SNCF)
Une partie de ces randonnées est documentée sur http://cavailhez.fr
Note : Seul les TC peuvent vous offrir le plaisir de la traversée de massif.
Oui ils sont bien conçus et parfaitement utilisables et l'ont toujours été et le personnel qui s’en occupe est d’un dévouement exceptionnel.
Oui, il est possible d’aller n’importe où en montagne pour une somme modique.
P.S. pour Nicolas315 : Ton emploi du temps après la sortie de l’école d’ingénieur ne va pas s’améliorer avec la vie active, les responsabilités, les enfants, …
En tout cas, bravo pour ta mobilisation en faveur d’une montagne « douce ». Je te souhaite beaucoup de réussites dans cette voie et de faire le plus d’émules possibles (l’animation suicidée par ce post en est l’exemple).
1997 : Parc des volcans : Gare de Volvic (SNCF) -> Gare du Mont Dore (SNCF)
1998 : Vercors : Corrençon (Transisère) -> Gare de Die (SNCF)
1999 : Vanoise : Les Arcs 2100 (Funiculaire + navette) -> Pralognan (Car SNCF)
2000 : Ariège (Carlit) : gare de Porta (SNCF) -> Gare de Mérens (SNCF)
2001 : Verdon : Riez (car Nice) -> Castellanne (Car Sumian)
2001 : Mercantour : Tende (Gare SNCF) -> Saint Martin de Vésubie (car)
2002 : Vercors : Gare de Clelle (SNCF) -> Corrençon (Transisère)
2002 : Vanoise : Pralognan (Car SNCF) -> Gare Modane (SNCF)
2003 : Alsace (Mt St Odile) : de Barr à Barr (Gare SNCF)
2003 : Vanoise : Gare Modane (+ taxi -> Orgères) -> Val d’Isère (bus SNCF)
2004 : Ecrins : Gare Gap (+ taxi -> Les Gondouins) -> Bourg d’Arud (Bus de La Bérarde)
2005 : Paradis : Gare Aoste (+ bus jusqu'à Pont) -> La Thuile (Bus Tignes – B.St Maurice)
2006 : Ht Pyrénées (Néouvielle) : La Mongie (car SNCF) -> Barèges (car SNCF)
2007 : Ariège (HRP) : Gare de l’Hospitalet (SNCF) -> Gare de Mérens (SNCF)
2008 : Vercors : Gare de Clelle (SNCF) -> gare de Monestier (SNCF)
Une partie de ces randonnées est documentée sur http://cavailhez.fr
Note : Seul les TC peuvent vous offrir le plaisir de la traversée de massif.
Oui ils sont bien conçus et parfaitement utilisables et l'ont toujours été et le personnel qui s’en occupe est d’un dévouement exceptionnel.
Oui, il est possible d’aller n’importe où en montagne pour une somme modique.
P.S. pour Nicolas315 : Ton emploi du temps après la sortie de l’école d’ingénieur ne va pas s’améliorer avec la vie active, les responsabilités, les enfants, …
En tout cas, bravo pour ta mobilisation en faveur d’une montagne « douce ». Je te souhaite beaucoup de réussites dans cette voie et de faire le plus d’émules possibles (l’animation suicidée par ce post en est l’exemple).
Dominique http://chemineur.fr