D'accord avec le 1) même si tu t'attaches plus aux conséquences qu'aux cause pour lesquelles l'ONF agit de la sorte, mais c'est un autre débat ! Les Tarifs pratiqués supposent un remplissage optimal ce qui les fait rentrer dans la catégorie du point 2) avec lequel je partage ton avis également.Claude Mauguier a écrit : - 1) le gîte de groupe, réservable pour un séjour dont la maîtrise revient totalement au loueur (ex : le réseau "Retrouvance" de l'ONF, lequel s'est mué de service public en tour opérator, avec pour conséquence la confiscation et l'utilisation privative de bâtiments publics, pour "rentabiliser" son activité). Ici, hors de question de se pointer soit isolément, soit à l'improviste, soit les deux mon capitaine, hors des programmes prévus : à exclure catégoriquement de refuges.info. Sinon, on peut aussi bien recenser les agences de voyages, treks, etc...
- 2) le gîte der séjour (analogue à une location "gîte rural") ou de groupe, réservable par n'importe qui sans programme préconçu, mais dont le prix de revient est inacceptable pour une ou deux personnes passant occasionnellement : à exclure pareillement. Car si on veut se taper l'incruste dans un secteur, seul ou à plusieurs, autant consulter le syndicat d'initiative et prendre une location saisonnière.
- 3) enfin le local aménagé, équipé, de capacité suffisante, non gardé, mais accessible à la nuitée moyennant un tarif "gîte" ou "refuge", et fermé en temps ordinaire mais dont les clefs doivent être retirées chez Leporello & Papageno Inc. café-épicerie-charbon-crack depuis 1883 à Porcoduncazzo.... devrait avoir droit de cité chez refuges.info. Ces structures sont surtout présentes en Italie et en Suisse.
§ Cependant, le cas cité par Swisstrekker déborde cette catégorie : une ou deux personnes n'y trouveraient pas leur compte, ce qui me paraît devoir les exclure, puisque assimilables à la catégorie 2), sauf à faire apparaître un avertissement gros comme ça
- ... je ne vois pas d'autres cas possibles, si on veut rester dans la catégorie "gîte d'étape". Les hôtels paumés et modestes peuvent être parfois bougrement utiles, mais c'est un autre débat.
Le 3) n'a jamais posé problème pour être sur le site : Pour l'anecdote, je me souviens être passé à l' abri du Merdaret en Belledonne moins de 3 semaines après que tu y sois passé mais avec pas loin de 30° de différence
Edit : Le cas de Swisstrekker me surprend, si j'ai bien compris : Le loueur imposerait un certain nombre d'occupants. C'est le premier cas que j'entends parler ! Le loueur se contente en général de louer l'infrastructure à un prix, charge au locataire de trouver ses critères de rentabilité dans la limite des places disponibles. Quand la location se fait par tête de pipe, le tarif est, en général acceptable pour une personne seule. Il exite aussi des cas où le gardien d'un refuge, hors période de gardiennage, demande un certain nombre d'occupants pour s'assurer de sa présence, donc de le garder...